Paris Open Source Summit, le rendez-vous annuel des acteurs européen de l’open source, des logiciels libres et du numérique ouvert, s’est tenu les 5 et 6 décembre derniers aux Docks Pullman à Paris pour la 4ème année consécutive. Retour sur cette édition qui a réuni près de 5500 experts et amateurs autour du thème : la place de l’open source et des acteurs français du libre, dans la révolution numérique de nos sociétés.
Une opportunité pour Orange de participer et ainsi réaffirmer son implication dans le domaine de l’Open Source.
Au cours de ces deux journées, trois grandes thématiques ont été abordées : la thématique «Tech» présentant les technologies de demain issues de l’open innovation, la thématique « Solutions » pour trouver des réponses opérationnelles en Open Source, et la thématique « Ecosystem » qui a exploré les enjeux de l’Open Source dans notre société.
L’ensemble des acteurs de l’écosystème Open Source français était présent, que ce soit les acteurs industriels (PME, start-ups et grands groupes) ou institutionnels (le pôle de compétitivité Systematic, le CNLL, etc) et même les communautés Open Source (OW2, la Fondation Eclipse, l’OSI, etc). Parmi eux, trois experts d’Orange ont fait le déplacement pour participer à ce grand rendez-vous et présenter les projets et initiatives auxquels ils contribuent. Des démonstrations des projets ont été réalisées.
« Le salon draine un public très divers et les échanges sont ainsi très variés » – Bruno Dillenseger, projet CLIF
Participer au premier événement européen sur l’Open Source a été pour Orange une opportunité unique de faire découvrir ses innovations et de montrer son savoir-faire sur des sujets technologiques variés.
La parole aux participants :
« C’était mon premier POSS, j’espère que je pourrais participer de nouveau aux prochaines éditions ! » Joël Gardes, projet Maxwell.
« Le salon était très intéressant pour ses échanges et démos de notre appli web Signs@Work avec par exemple des représentants RH d’Atos, mais aussi avec Cédric Thomas CEO d’OW2 à qui nous avons pu montrer en plus notre prototype de player vidéo DfA. Nous en avons profité pour lui faire part de soucis sur « l’inaccessibilité » du salon au niveau conférence : pas d’interprétation, de programme en braille ou de sous titrage. Il a pris bonne note pour la prochaine édition » Laurent Faucillon, projet Signs@Work
« Je pense que ça a permis de mettre en bonne visibilité mes travaux sur l’IA au travers de Maxwell » Joël Gardes, projet Maxwell.
« Au niveau du projet CLIF que je présentais, dans le domaine du test de performance, j’ai ainsi pu échanger de façon très directe avec de potentiels utilisateurs, contributeurs, formateurs sur des technologies connexes, et même avec un projet concurrent. J’ai donc fait mieux connaître le projet et je sais encore mieux le positionner et trouver de l’aide si besoin.» Bruno Dillenseger, projet CLIF